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Publié le jeudi 21 juillet 2011

Antenne clinique — Session 2011-12

Séminaires de l’après-midi


Les participants donnent un ordre de choix préférentiel entre les séminaires suivants :

- Après le cours...
- un des quatre séminaires d’Élucidation des pratiques
- un séminaire de Lecture de textes

Après le cours… (groupe A)

Nous proposons, à ceux qui ne feraient que débuter dans la lecture de Freud et/ou de Lacan, un groupe pour éclaircir les principaux concepts auxquels il aura été fait référence lors du cours théorique du matin et ce en partant des interrogations des participants.
Priorité sera donnée, mais non exclusivement, aux participants des premières et deuxièmes années.

Responsable : Jean-Louis Woerlé.

Séminaire d’élucidation des pratiques

Groupe P1 : Etude des entretiens préliminaires

Le moment de la rencontre entre un sujet et un praticien orienté par la psychanalyse constitue un temps extrêmement précieux. C’est là que vont se nouer ou pas les fondements du transfert. C’est aussi ce temps où l’analyste tente de se repérer quant à la structure de ce sujet en demande, de situer ses points d’ancrage, de favoriser la construction d’un symptôme possible analysable. C’est autour de l’abord de ces entretiens inauguraux que nous allons centrer notre élaboration de cette année.

Responsables : Corinne Bognar et Raymonde Jdanoff.

Groupe P2 : Que nous enseignent les psychoses aujourd’hui ? Qu’avons-nous à en transmettre ?

Ces deux questions à mettre au travail des cas présentés s’opposent d’un certain point de vue à la démarche médicale du diagnostic. Nous pourrons nous appuyer sur le retour proposé par J.-A. Miller sur la catégorie clinique lacanienne de « psychose ordinaire » qui pousse d’un côté à affûter le concept de névrose et de l’autre qui généralise celui de psychose. Selon son indication, le diagnostic de psychose ordinaire ne saurait être un « asile de l’ignorance » mais une catégorie épistémique pour reconquérir les diagnostics psychiatriques et psychanalytiques « classiques ».

Responsables : Marie-Hélène Doguet-Dziomba et Francine Giorno.

Groupe P3 : Ce qui rend nécessaire le symptôme

A la fin de son enseignement, Lacan a introduit une véritable subversion dans la conception du normal et du pathologique, en mettant l’accent sur la nécessité du symptôme. Un symptôme ne saurait être réduit à un phénomène pathologique à éradiquer. Au-delà de la souffrance qu’il emporte, un symptôme peut faire fonction de Nom-du-Père, pour un sujet, et assurer à ce dernier un point d’ancrage.
Nous nous efforcerons à partir des cas cliniques qui seront présentés par les participants de vérifier cette thèse de Lacan.

Responsables : Eric Guillot et José Luis Garcia Castellano.

Groupe P4 : Elaborations lacaniennes après effondrement psychotique

Il n’y a pas de DSM de la psychanalyse. Nous élaborerons donc à l’aide des concepts lacaniens à partir des situations cliniques présentées par les participants, les façons dont un sujet peut se saisir de l’offre de parole qui lui est faite dans le cadre d’entretiens cliniques afin de repérer tant ce qui fait effraction que ce qui consolide ou fait suppléance.

Responsables : Eric Blumel et Marie-Claude Sureau.

Séminaire de lecture de textes
« L’Homme aux loups* » de Sigmund Freud

L’Homme aux loups* ne cesse d’occuper les psychanalystes et ce depuis le premier témoignage que Freud a rendu de cette cure, à l’hiver 1914-1915. Ce cas a reçu les diagnostics les plus divers, suivant les variations des investissements libidinaux mis au jour par Freud. Nous suivrons la lecture qu’en propose Jacques-Alain Miller dans son séminaire de DEA et nous essaierons dans la suite de dégager les points essentiels susceptibles d’ordonner notre lecture du cas.

* — Freud S., « Extrait de l’histoire d’une névrose infantile (L’homme aux loups) », Cinq psychanalyses, PUF, Paris, 1954. Existe aussi dans d’autres collections plus récentes.
— Miller J.-A., « L’Homme aux loups », La Cause freudienne, n° 72 et 73.

Responsable : Valérie Pera-Guillot.

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