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Publié le mardi 21 août 2018

Antenne clinique – Session 2018-19

Séminaires de l’après-midi

(Le vendredi de 15h15 à 16h45)

Les participants donnent un ordre de choix préférentiel entre les séminaires suivants, qui se dérouleront le vendredi de 15h15 à 16h45 :


Après le cours… (groupe A)

Le séminaire « Après le cours » propose d’éclairer quelques concepts théoriques à partir des questions, des interrogations des participants suscitées par le séminaire théorique du matin. Ces points obscurs pourront aussi être, dans la mesure du possible, cernés par quelques vignettes cliniques.
Destiné en priorité, mais non exclusivement, aux participants de première et seconde année, ce groupe permet d’accompagner les participants débutants dans leurs premiers pas dans l’orientation lacanienne.

Responsable : Jean-Louis Woerlé
Co-responsable : Marie Izard-Delahaye



Séminaires d’élucidation des pratiques

Les participants pourront apporter des cas de leur pratique.

Symptômes au contemporain (groupe P1)

Le séminaire attend des cas présentant des symptômes déclinés au contemporain (nouvelles addictions, psychoses ordinaires, questions de genre…) afin de réfléchir sur l’époque qui est la nôtre mais aussi à l’aggiornamento théorique nécessaire pour continuer de rendre vivante notre pratique et notre éthique.

Responsables : Fabrice Bourlez et Marie-Hélène Doguet-Dziomba


La famille dont on nous parle (groupe P2)

A la fin de son enseignement, Lacan s’interroge : pourquoi les analysants ne parlent-ils que de leurs relations à leurs parents d’ailleurs proches, père, mère, mais aussi les autres membres de leur famille ? Pourquoi ne parlent-ils que de cela et de leurs souvenirs d’enfance ? L’analysant décrit les dysfonctionnements auxquels il a été confronté, le régime de jouissance auquel il a été soumis.
Mais cet abord de la famille masque ce qui détermine effectivement l’histoire d’un sujet. Au-delà de ces relations familiales, ce qui importe, ce sont les relations primordiales qu’un sujet établit au savoir, à la jouissance et à l’objet, ainsi que son rapport au langage à lalangue.1
C’est ce que nous tenterons d’explorer à partir des cas cliniques présentés.

Responsable : Francine Giorno
Co-responsable : Valérie Letellier


Sujet singulier, famille particulière, protocole unique (groupe P3)

Ecouter un sujet suppose aussi d’accueillir le récit des particularités de sa famille afin d’en cerner les incidences conduisant à sa naissance subjective originale.
Emerger en tant que parlêtre s’articule dans la demande à l’Autre, c’est une modalité qui va lui donner un style personnalisé et constituer une conduite élective d’accroche transférentielle.
Faire une offre analytique suppose de construire un cadre clinique sur mesure, protocole unique, une exclusivité pour répondre à cette commande inconsciente précise.

Responsable : Corinne Bognar
Co-responsable : Nathalie Hervé-Diop



Etude de textes

Seront étudiés des textes de Freud, de Lacan et de Jacques-Alain Miller en rapport avec le thème de l’année.

« D’une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose1 », Jacques Lacan (1958) (groupe T1)

Nous poursuivrons la lecture, pas à pas, de cet écrit de Lacan qui constitue une référence majeure pour tous ceux qui sont « concernés par la question que pose l’existence du fou2 ».
D’une remarquable densité – réalisant un condensé des deux premiers tiers du Séminaire, livre III que Lacan a consacré aux psychoses – ce texte invite à une lecture collective, à la recherche de ses multiples références.
Cette lecture constitue aussi une entrée dans l’enseignement de Lacan. Nous vous la proposons comme un exercice de gay savoir.
1 Jacques Lacan, « D’une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose », Ecrits, Paris, Seuil, 1966.
2 Ibid., p. 532.

Responsables : José Luis Garcia Castellano et Eric Guillot


Clinique sous transfert : parcours détaillé du cas de l’Homme aux loups de Freud (groupe T2)

Nous ferons une lecture détaillée des textes sur « l’Homme aux loups » en partant notamment de Freud, Ruth Mack Brunswick, de Sergueï Pankejeff lui-même, des avancées de Jacques Lacan, Agnès Aflalo, Esthela Solano et Jacques-Alain Miller.
Partant de sa problématique familiale, nous mettrons l’accent sur la singularité de ce cas pris entre névrose obsessionnelle et psychose ordinaire.
Nous mettrons l’accent sur ce qu’il nous enseigne quant à la clinique d’aujourd’hui sous transfert.

Responsables : Catherine Grosbois et Marie-Claude Sureau.

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